Cérémonies communes pour la saint Lazare à Paris les 16 et 17 décembre 2017

   

Comme le veut la tradition, les membres du Grand Bailliage de France se sont réunis en chapitre le samedi 17 décembre pour fêter leur saint patron Lazare de Béthanie.

Selon un usage maintenant bien établi  le vendredi 16 une délégation de membres de l’Ordre assista au ravivage la flamme qui, depuis près d’un siècle brûle sur la tombe du soldat inconnu sous l’Arc de Triomphe.

Notre Grand Bailli, S.E. Dominique M. Doyen, GCL, et S.E. le comte Christian d’Andlau, GCLJ, Grand Prieur de France effectuèrent ce geste hautement symbolique afin de nous rappeler nos anciennes racines militaires mais surtout pour manifester notre reconnaissance envers tous ceux qui sont  tombés pour nous nous permettre aujourd’hui de vivre dans un pays libre.

Pour la première fois notre  Grand Baillage célébrait cette saint Lazare après avoir rejoint la branche historique de l’Ordre dont le Grand Maître est S.E. don Carlos de Gereda y Borbón, GCLJ,  marquis d’Almazan et le Grand Prieuré de France dont le Grand Prieur est S.E. le comte Christian d’Andlau-Hombourg, GCLJ.

Afin de marquer leur parfaite union avec nous le commandeur de la Grande Commanderie de Boigny, S.E. le docteur Christian Fella était lui aussi présent accompagné par le commandeur émérite, S.E. le colonel (CR) Romain Bour GCLJ.

Le jour même avait eu lieu la vigile en l’église luthérienne Saint-Jean. Cette cérémonie était organisée par le Révérend Jean-François Breyne, SChLJ, titulaire de cette paroisse et le Révérend docteur Jacques-Noël Pérès, chapelain Général du Grand Prieuré qui, le lendemain, serait élevé à la dignité de Commandeur Ecclésiastique (ECLJ). Deux postulants se préparèrent à revêtir le lendemain le manteau de l’Ordre.

Cette vigile avait été précédée par une Assemblée Générale au cours de laquelle furent étudiés deux actions urgentes à réaliser dans les prochains mois : la collaboration avec une autre ONG pour l’équipement en matériel médical d’un dispensaire au Liban et l'aide à un monastère grec melkite catholique en Syrie dans le cadre de notre soutien aux chrétiens d’Orient.

Les fonds pour ces deux actions avaient été levés au cours de l’année passée grâce au dynamisme de la commanderie d’Occitanie.

Pour la première fois notre  Grand Baillage célébrait cette saint Lazare après avoir rejoint la branche historique de l’Ordre dont le Grand Maître est S.E. don Carlos de Gereda y Borbón, GCLJ,  marquis d’Almazan et le Grand Prieuré de France dont le Grand Prieur est S.E. le comte Christian d’Andlau-Hombourg, GCLJ.

Afin de marquer leur parfaite union avec nous le commandeur de la Grande Commanderie de Boigny, S.E. le docteur Christian Fella était lui aussi présent accompagné par le commandeur émérite, S.E. le colonel (CR) Romain Bour GCLJ,

 

Le lendemain en l’église Saint-Germain l’Auxerrois la Sainte Messe fut célébrée par Monseigneur Xavier Rambaud, Prélat d’Honneur de Sa Sainteté, Vice-Doyen du Chapitre de Notre-Dame de Paris, Vicaire épiscopal, en présence du Pasteurs Jacques Noël Pérès, Chapelain Général du Grand Baillage et des Pasteurs Philippe de Bernard de Seigneurens, Aumônier général de la Marine et Jean-François Breyne, SChLJ. 

Après un serment d’allégeance prêté par S .E. Dominique M. DOYEN, GCLJ, Grand Bailli, entre les mains du comte Christian d’Andlau-Hombourg, Prieur de France, représentant le Grand Maître, serment ensuite confirmé individuellement par chaque membre du Grand Bailliage eurent lieu les cérémonies de réceptions et de promotion dans l’Ordre.

Deux postulants reçurent le manteau, et neuf autres confrères méritants furent promus dont quatre à l’ultime grade de chevalier et deux au rang de dames de l’Ordre.

     Le Grand Bailliage jouissant d’une certaine autonomie au sein du Grand Prieuré, les cérémonies furent conduites par S.E. le Grand Bailli en ce qui concerne les membres de sa juridiction et par S.E. le Grand Prieur pour le candidat qui relevait directement du Grand Prieuré.

     L’harmonie et la joie de travailler ensemble en totale communion fut donc la marque essentielle de ces deux journées.